ARTICLE MENTIONNANT CANY IMMOBILIER DANS LE SUPPLÉMENT WEEK END DES ECHOS DE MAI 2008
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CANY IMMOBILIER DANS LES ECHOS DES 12 JANVIER 2007 ET 23 MAI 2008 : PREMIER QUOTIDIEN ECONOMIQUE FRANCAIS

Une propriété abordable dans l'arrière-pays normand
COLETTE SABARLY - LES ECHOS | 
 

Son premier atout : la tranquillité. Son deuxième : l'authenticité. Son troisième : un prix très abordable. Notre maison de la semaine est une opportunité pour qui cherche à planter ses racines en pays de Caux. La propriété se cache, entre Yvetot et Fécamp, à une vingtaine de kilomètres de la mer, dans un environnement tranquille et préservé qui autorise les virées sur les falaises crayeuses de Dieppe ou d'Etretat. Longue bâtisse toute de brique, de silex et d'ardoise, elle doit son allure soignée à une rénovation menée sans trahir le caractère typique des constructions d'autrefois.

Un séjour, un salon, une cuisine et quatre chambres se partagent les 200 m2 de la maison. Tandis que le jardin offre une taille suffisante pour préserver l'intimité sans pour autant rendre son entretien trop lourd. Surtout qu'ici, les propriétés constituent souvent des villégiatures de vacances et de week-end. L'engouement pour la région ne se dément d'ailleurs pas. Au plan immobilier, les professionnels restent sereins. Même si les Anglais ont tendance à se retirer du marché, préférant empocher de belles plus-values et migrer vers le Sud, ils sont remplacés par les Néerlandais, séduits par une région agréable et très authentique qui possède un bâti de grande qualité. Les Parisiens, quant à eux, restent fidèles à la région, attirés par la proximité et un marché aux valeurs plus sages que celles que l'on rencontre de l'autre côté de la Seine, à Deauville, Trouville ou Honfleur. Certes, ici comme ailleurs, les prix ont beaucoup grimpé ces dernières années. Mais la hausse s'est calmée. « Nous n'observons plus que de légères hausses, analyse Jean-Charles Connier, responsable de l'agence Cany Immobilier, le marché reste bien orienté pour les propriétés de caractère tandis que les biens de moindre qualité se vendent plus difficilement. " Dans la région, on ne trouve plus grand-chose à moins de 200.000 euros et c'est sur les biens entre 300.000 et 350.000 euros que la demande est la plus forte. Pour de tels budgets, on peut s'offrir une dépendance de château, une vaste ferme à colombages rénovée ou encore 
une petite maison de maître avec travaux. Ceux qui ont la chance de disposer d'un budget plus conséquent, entre 400.000 et 1 million d'euros, n'auront aucune difficulté à dénicher un petit manoir ou une villa cossue aux abords de la mer. « Mais au-delà du million d'euros, les ventes ont du mal à se concrétiser, prévient Jean-Charles Connier, nous avons davantage de biens à vendre, notamment des petits châteaux pour lesquels les propriétaires continuent d'avoir des prétentions élevées. " Dans l'ensemble, la demande se concentre sur la bande littorale. Dès qu'on s'enfonce dans l'arrière-pays, les prix deviennent beaucoup plus accessibles. C'est le cas de notre maison de la semaine.

COLETTE SABARLY
État des lieux Localisation : entre Fécamp et Yvetot (76). Superficie du terrain : 1.870 m2. Superficie de la maison : 200 m2. Prix : 280.000 euros. Contact : agence Cany Immobilier, tél. : 02.35.97.55.98.


ET

PAGE 3 DU NUMERO SPECIAL RESIDENCES SECONDAIRES DE MAI 2008 :

"Sur la côte d'albâtre, les falaises crayeuses attirent une clientèle à la recherche d'authenticité. "Tout le monde parle de ralentissement, pour ma part, je ne le ressens pas, indique Jean-Charles CONNIER de Cany Immobilier. Lorsque les biens sont à leur prix, ils se vendent sans délai." Mais la prime va aux propriétés de caractère. Un peu en retrait de la mer, tout près de CANY BARVILLE, une petite fermette typique vient de se négocier 250.000 € en une journée."

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